En Occident, au nom de l’égalité, qui n’existe que dans l’esprit de ceux qui y croient, on a supprimé le principe du mérite, de l’excellence, considéré comme inégalitaire. On est ainsi passé d’un monde tenant compte de la naturelle inégalité à un monde la niant, et donc d’un monde inégalitaire soucieux d’être le plus juste possible à un monde inégalitaire injuste.
Ceci veut dire qu’au nom d’un soi-disant progrès, nous avons régressé, nous sommes passé de la culture du vrai contre le faux à la dictature du faux contre le vrai, nous avons quitté la civilisation pour nous diriger vers la barbarie en abandonnant ce qui pousse vers le haut au profit de ce qui entraîne vers le bas, alors que le principe de l’excellence d’autrefois, chargé de récompenser les meilleurs, les plus méritants, quels qu’ils soient, quelle que soit leur origine sociale, représentait la victoire de la civilisation sur la barbarie. Cette règle juste, qui permettait de mettre les meilleurs au service de l’intérêt commun et notamment des plus faibles, fut donc déclarée injuste par de faux défenseurs des plus faibles et des plus pauvres contre les plus forts et les plus riches, avec pour conséquence, au fil des années, un progressif renforcement de la loi du plus fort dont les principales victimes sont et seront toujours davantage les plus faibles et les plus pauvres, et les principaux bénéficiaires les plus socialement avantagés et les plus riches. En somme, nous avons basculé d’un système d’inspiration aristocratique à un système bourgeois, et de plus en plus petit-bourgeois.
Ceci veut dire qu’au nom d’un soi-disant progrès, nous avons régressé, nous sommes passé de la culture du vrai contre le faux à la dictature du faux contre le vrai, nous avons quitté la civilisation pour nous diriger vers la barbarie en abandonnant ce qui pousse vers le haut au profit de ce qui entraîne vers le bas, alors que le principe de l’excellence d’autrefois, chargé de récompenser les meilleurs, les plus méritants, quels qu’ils soient, quelle que soit leur origine sociale, représentait la victoire de la civilisation sur la barbarie. Cette règle juste, qui permettait de mettre les meilleurs au service de l’intérêt commun et notamment des plus faibles, fut donc déclarée injuste par de faux défenseurs des plus faibles et des plus pauvres contre les plus forts et les plus riches, avec pour conséquence, au fil des années, un progressif renforcement de la loi du plus fort dont les principales victimes sont et seront toujours davantage les plus faibles et les plus pauvres, et les principaux bénéficiaires les plus socialement avantagés et les plus riches. En somme, nous avons basculé d’un système d’inspiration aristocratique à un système bourgeois, et de plus en plus petit-bourgeois.
